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KONGO-CENTRAL : COMPÉTENCES ET FORCES VIVES


APPEL AUX COMPÉTENCES ET AUX FORCES VIVES DU KONGO-CENTRAL

Pour une industrie locale moderne, compétitive et créatrice de valeur

Le Kongo-Central dispose de richesses immenses. Des terres fertiles, une population laborieuse, une culture forte, et un potentiel agro-industriel encore largement inexploité. Aujourd’hui, il est temps que nos ingénieurs, nos techniciens, nos entrepreneurs et nos cadres se mobilisent. Qu’ils se lèvent pour transformer cette richesse en prospérité concrète pour nos producteurs et nos communautés. EAE ASBL est enfin prêt à débuter un partenariat gagnant-gagnant avec le Kongo-Central.

1. Moderniser la production locale par l’innovation

Nos ingénieurs ont la capacité. Ils peuvent rendre nos activités agricoles plus rapides, plus rentables, plus sûres et plus compétitives qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Nous recherchons des ingénieurs, techniciens et professionnels prêts à :

  • travailler sur le terrain,
  • transférer leurs connaissances,
  • concevoir des solutions simples et efficaces,
  • et démontrer, par l’exemple, que l’innovation est possible ici même, chez nous.

2. Projet pilote : une unité moderne de production de la chikwangue

Nous envisageons la création d’un embryon d’usine locale capable de produire une chikwangue :

  • standardisée,
  • de haute qualité,
  • conditionnée pour l’exportation,
  • et vendue à un prix compétitif.

Ce projet vise à :

  • réduire les coûts de production,
  • accélérer les délais de livraison,
  • améliorer la qualité et la variété,
  • augmenter les revenus des productrices et producteurs,
  • tout en transmettant formation, rigueur et nouvelles compétences aux communautés locales.

3. Vers des produits labélisés, certifiés et brevetés

Nous voulons aller plus loin en accompagnant les producteurs vers :

  • la labélisation des produits locaux (AOC, labels traditionnels, qualité premium) ;
  • le brevêtage de techniques et procédés innovants ;
  • la certification conforme aux standards régionaux et internationaux ;
  • et le développement de marques locales fortes, capables de rivaliser sur des marchés plus larges.

4. Extension du modèle : riz, banane, et même ressources minières non pétrolières

Le même modèle peut être appliqué :

  • à la transformation du riz du Kongo-Central ;
  • à la valorisation de la banane (farine, chips, poudre, emballages biodégradables) ;
  • et, dans une autre filière, à la formation de jeunes du Kongo-Central pour entrer dans le secteur des minéraux non pétroliers, domaine stratégique pour l’avenir de la province.

5. Un appel à la coopération

Nous lançons aujourd’hui un appel solennel aux fils et filles du Kongo-Central, où qu’ils se trouvent :

  • ingénieurs,
  • techniciens,
  • agronomes,
  • enseignants,
  • opérateurs économiques,
  • diaspora,
  • jeunes créateurs,
  • leaders communautaires,
  • investisseurs,
  • et partenaires internationaux.

Ensemble, nous pouvons étudier, concevoir et lancer ces projets avec la population locale, et non à sa place.
L’objectif est clair : créer une industrie locale forte, moderne, et porteuse d’emplois. Une industrie dont les bénéfices profitent, enfin, au peuple bas-congolais.


Message de conclusion

Il est temps que le Kongo-Central transforme son potentiel en puissance.
Les compétences existent. La volonté existe.
Ce qu’il faut maintenant, c’est une coordination, un cadre, et une vision commune.

Nous invitons toutes les personnes intéressées à se manifester pour rejoindre ce mouvement de transformation. De cette façon, participer à la conception et à la mise en œuvre de projets. Des initiatives qui fassent entrer notre province dans une nouvelle ère.

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Une culture d’entreprise…

Quelle culture et pourquoi ?

  • Capitalisme : pour assurer l’enrichissement, le développement, la compétitivité.  Nos projets doivent être rentables sur tous les plans : économiques, sociaux, culturels, spirituels, éthiques, industriels, scientifiques, civiques…
  • Responsabilité : pour garantir l’efficience, la pérennité du bonheur.  Le bénéficiaire est celui qui paie.  Nous pouvons trouver les modalités de ce paiement,  ensemble, dans une vision d’humanisme et de solidarité.  Mais nous nous interdisons toute participation au soutien du parasitisme, de la dépendance.
  • Indépendance : l’indépendance du citoyen et de sa localité nous tient à cœur.  Nos projets, visent donc l’enrichissement, non seulement de l’homme physique, social, culturel, mais aussi de l’homme spirituel et moral.

Appel aux informaticiens d’Afrique


L’Intelligence Artificielle redessine l’économie, la recherche et le pouvoir. Nous refusons d’en être des spectateurs. L’Afrique a les cerveaux, l’énergie et les ressources pour produire, pas seulement consommer.

Ce qui manque ? L’organisation, la recherche appliquée, la contribution scientifique africaine.
EAE ASBL propose une voie claire :

  • Phase 1 — Groupe de réflexion : cartographier les besoins continentaux, définir des priorités (éducation, santé, énergie, agriculture, mines, villes), publier des notes, standards et plans d’action.
  • Phase 2 — Bureaux d’études : équipes mixtes (académie–industrie), missions payées, prototypes utiles, intégration IA dans des projets existants.
  • Phase 3 — Centres 100% africains : labos et plateformes de calcul, datasets locaux, publications et brevets, produits exportables.

Principe : partir de ce que nous avons, sans mendicité, avec exigence, rigueur et coopération africaine.
Engagement : si vous êtes prêt(e) à investir votre intelligence, votre temps et votre discipline, contactez-nous : eae.asbl@eaeasbl.com.
Objectif : en 12–24 mois, obtenir nos premiers résultats visibles (publications, jeux de données, prototypes, contrats), et en 36 mois, des centres opérationnels dans plusieurs régions d’Afrique.

Je m’engage, concrètement !

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Notre projet Mines : devenir partenaire ?

Pourquoi rejoindre l’EAE ASBL dans son projet Mines lorsque l’on est orpailleur sans certificat LBMA ou dépourvu de toute autre certification ?

Voici un document que nous devons produire ensemble afin d’obtenir, de manière définitive, notre charte de travail en vue de la certification LBMA à l’horizon 2029.

Notre charte de travail nous permettra de déposer rapidement notre candidature à la certification LBMA pour nos coopératives. Il faut 3 ans de parcours de combattant pour être certifié LBMA et vendre notre or dans toutes les bourses mondiales sans entrave.

Nous devons donc nous mettre sur la piste le plus rapidement possible. Quel est le bénéfice ?

Aujourd’hui, voici où va l’argent de l’or de notre orpailleur :

  • 60 % – 65 % entre les mains de l’orpailleur que nous conseillons.
  • 5 % – 10 % entre les mains des commissionnaires du vendeur et de l’acheteur.
  • 15 % – 20 % entre les mains des services divers : publics et privés.
  • 15 % – 5 % entre les mains de l’acheteur étranger (Par celui de la bourse).

Après la certification, que se passera-t-il, toutes choses égales par ailleurs ?

  • 80%-85% entre les mains de l’orpailleur qui a été conseillé et accompagné par nous.
  • 0 % – 0 % entre les mains de commissionnaires du vendeur et de l’acheteur.
  • 15 % – 20 % entre les mains des services divers : publics et privés.
  • 0%-0% entre les mains de l’acheteur étranger (Par celui de la bourse).

Tout le monde doit avoir cela à l’esprit pour comprendre pourquoi nous vous invitons à nous rejoindre dans notre projet Mines de l’EAE ASBL.