Dans nos localités, le chômage est largement répandu en raison de niveaux d’instruction, de formation et d’éducation insuffisants face aux exigences du marché du travail du 21ᵉ siècle. Cette situation engendre pauvreté, injustice sociale et insécurité, quel que soit le lieu. Insécurité de nature et de dégré différents.

Par ailleurs, les chômeurs rencontrent de nombreuses difficultés à entreprendre des démarches de recherche ou de création d’emplois, freinés par des obstacles fiscaux et des tracasseries administratives. Il devient urgent de lever ces barrières ou d’apprendre à les gérer, dans une perspective qui concilie les intérêts individuels et ceux de la collectivité.

Notre expérience de terrain montre que les enfants dits bloqués ne le sont souvent que parce que nous avons négligé la 3ème composante d’une éducation réussie : la transmission de bons comportements ! Tous les « apprenants » que nous avons débloqués, ne sont plus revenus vers nous : ils ont été définitivement libérés de la peur d’échouer.

Nous observons également que de nombreux travailleurs ne disposent pas toujours de qualifications ni de compétences requises pour les métiers qu’ils exercent. Cela nuit à leur compétitivité sur les marchés nationaux et internationaux, et limite leur capacité à négocier des salaires décents. Ce qui accentue la précarité.

Enfin, certaines politiques publiques en vigueur ne favorisent pas l’esprit entrepreneurial, empêchant l’exploitation de nombreuses opportunités économiques présentes dans nos pays et outre-mer.

C’est pourquoi nous nous engageons à aider nos communautés à combattre deux grands ensembles de handicaps.

1. L’ignorance, l’incompétence et le déficit de valeurs morales.
2. Le chômage, l’exploitation, la précarité, la pauvreté, la dépendance, l’injustice sociale et les formes modernes de colonisation et d’esclavagisme qui en découlent.

À travers nos actions, nous voulons contribuer à former des personnes et bâtir des sociétés plus instruites, compétentes, justes, autonomes, compétitives et prospères.

À la fin idyllique du projet, il ne doit y avoir, au travail, ni ignorance ni incompétence ni incivilité.

Il n’y aura pas non plus ni chômage ni injustice sociale ni insécurité dans la localité, du fait de l’accroissement du savoir, du savoir-faire, du savoir-être ; du plein emploi, de l’enrichissement de tous, de l’accroissement de la justice sociale, de la liberté, de l’indépendance, de l’autodétermination et de la paix dans la localité.

Salles de cours, salles de formations, bureaux d’administration de pools de centres de formations et conférences.

Formateurs, conférenciers et apprenants.

Gestionnaires de projets, conseillers pédagogiques et techniciens divers.

Fournisseurs de biens et services divers.

Groupes électrogènes de secours.

Modems et routeurs.

Valise satelitaires offrant des connexions haut-débit.

Tableaux connectés, chevalets.

Imprimantes multifonction.

Consommables d’usages : encre, papiers, feutres, stylots, blocs-notes, etc.

Programme, contenus.

Matériel didactique : livres, syllabus, cahiers (exercices, examens, évaluations), fiches (insciption, exercices, évaluations, résumés, identification).

Finances : frais administratifs, frais financiers, salaires, taxes et impôts, divers ; sous forme d’une participation aux frais, versée par les apprenants.

Une participation aux frais de 150 €/heure/groupe, dans l’UE et l’Amérique du Nord : jusque 18,75 €/personne – maximum 8 personnes par groupe et de
15 €/h/groupe en Afrique sub-saharienne : jusque : 0,19 €/heure/personne – maximum 80 personnes par groupe) ; payée anticipativement, permettra de couvrir tous les frais du projet.

Une réduction de 50% sera appliquée aux inscrits du premier groupe de chaque filière de formation, quel que soit le niveau (Ex. Comptabilité, Word, Allemand, Droit des affaires, Informatique).

Une facilité supplémentaire et significative pourra être accordée aux apprenants de l’Afrique subsaharienne, dans le cadre d’une solidarité formateurs-apprenants que nous proposons aux acteurs du projet !