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Archives Mensuelles: août 2019

Donner des idées…

[24/8, 20:36] Frédéric Agenong’a: Je pouvais aussi faire ceci pour les écoles de chez moi à Abira, dans la chefferie des Anghal en territoire de Mahagi. Mais, les comités des parents ne seront jamais à mesure de rembourser le fonds reçu ( dépensé) ; pour cause de pauvreté extrême en monde Rurale.
[24/8, 20:41] Frédéric Agenong’a: Ce genre de construction de norme international coûte cher. Selon un expertise que je fais chez moi, les élèves étaient en mesure de payer 5.000 Shillings de construction par élèves. Pour un total de 300 élèves, le brut donne 1.500.000 Shillings soit 410$/ an. Ce montant ne peut rien faire en terme de construction de salle de classe.

Selon un ami Ingénieur en construction, une bonne salle de classe coûterait 7.000$

410$ ~7.000$, ils n’auront jamais des bonnes salles, en moins que l’État subventionne leur école.

Véritable casse tête
[25/8, 23:42] Paluku-Atoka Uwekomu: Pas du tout !
Tu tarvailles en solo : tu n’iras pas loin.
La solution est à la portée de la main de ce comité de parents. Elle l’ignore : c’est tout.
Voici le raisonnement que je vous propose pour moderniser l’infrastructure de l’école incriminée.
300 apprenants répartis dans des classes de 24 personnes maximum, cela fait 13 classe à construire. Plus un bureau multi-utilisateurs et une salle polyvalente : 15 locaux en tout à construire.
Pour des locaux de 6×8 m² x 200 €/m²/local de coût de construction, clés à la main, cela nous fait 9.600 €/local (pas loin du chiffre de ton expert : 7.000 € en première approximation).
Le coût total est donc de 15 locaux x 9.600 €/local = 144.000 €. Propose au comité des parents de se dépasser pour réunir 1.440 € la première année. Je te montrerai comment trouver le reste de manière que la 1ère année nous ayons au minimum la fondation complète de ce bâtiment. La deuxième année, tout le bâtiment sera construit, non pas avec des subsides de l’état, mais par les contributions des amis belges au vue de la fondation réalisée par l’effort des bénéficiaires ! Pour ce qui est de l’argent : soit que le comité des parents ouvre un compte auprès de Caritas Congo en Euros (Dollars) soit qu’il dépose sa participation sur le compte de l’AUPC ASBL (association des amis de l’aumônerie universitaire protestante du Congo, une ASBL de droit belge), notre parenaire belge pour toutes les questions d’économie financière. EAE ASBL paiera tous les frais de transfert dans les deux sens, le cas échéant. Voilà du concret : la balle est dans votre camp.

Aujourd’hui, dans la salle de la jeunesse de Mahagi, pour un cadre de réflexion sur le plan de développement intégral et intégré du territoire de Mahagi.

L’objectif de cette journée est de dresser le plan de développement de Mahagi. Ceci est convoqué par le Réseau des Organisations et Associations pour le Développement de Mahagi, en sigle, ROADMA. Le réseau regroupe jusque-là les organisations comme la SOBDC ONGD Asbl, CARENSI, ABV RDC, TTTM, etc.

SOBDC promet de s’assumer…

[9/8, 11:31] Paluku-Atoka Uwekomu:

Umira, wi kud uwil pi 500 $ (200+300). Atie ku lazima ne pio dit !

Frère, ne tombe pas dans l’oubli au sujet des 500 $. J’en ai très urgemment besoin.


[11/8, 09:01] Bonaventure Ungolombe:

A Daru gamu 200 edong’300 ebe kelo mardi ci abi ore iri pio dit.

J’ai déjà récupéré 200. Il reste 300 qui seront apportés le mardi ; alors je t’enverrai le tout très vite.

Passé au fait, ce sera un exemple d’un comportement responsable !

Bruxelles prône la responsabilité…

[13/8, 07:17] Moïse Kyavumba:

Butembo regrette le retrait de ce montant car dans le contrat il a été demandé que cet argent soit remis après six mois. Moi que je trouve que cette façon de faire va réduire notre confiance à Butembo. Je trouve que nous avons ouvert les portes que nous ne saurons pas fermée. Je dit cela parce-que les gens étaient déjà motivé pour cette coopérative. Bref pour dire que nous sommes entré de nous fermer nous même petit à petit les portes à Butembo car nous même avons suscité un besoin dans les mamans. Chers membres meditons tous à propos.

13/8, 08:06] Paluku-Atoka Uwekomu:

Il faut bien lire un contrat, Moïse !
Le signataire qui viole les termes d’un contrat est le coupable. Ici, Butembo n’est pas invitée à payer les dépens : elle ne doit donc pas se plaindre.
Quant aux conséquences : elles seront plus positives dès que les parties bubolaises se montreront respectueuses des termes de tous les autres contrats en cours.
Tu réfléchis en retard sur un projet que tu n’as pas su coordonner : faute d’avoir un ordinateur.
Notre CA de Bruxelles est sûr qu’il faille récupérer pres de 2500 € engagés sur la RDC et où les parties prenantes au projet se sont montrées défaillantes à tous les coups.

Formation de 3 jours chez SOBDC

La synergie EISU Task Force continue son bonhomme de chemin.

Pour être efficient, SOBDC a décidé de former ses membres à la gestion du cycle de projet.