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Archives de Tag: Développement

Les questions de Nicolas.

Préoccupations


Questionnements

Éclaircissements

Nous sommes-là pour cela !

EAE ASBL propose à nouveau sa formation grand public, en gestion de projets de développement local, à l’UE et l’Afrique.

La formation comporte 3 modules de 25 heures de vidéo par module. Elle exige :

– d’avoir au minimum le niveau d’un diplômé du secondaire européen ou africain et de le prouver,

– de disposer d’un ordinateur connecté,

– savoir obligatoirement utiliser minimalement Word 365, Excel 365, PowerPoint 365, Outlook 365, OneDrive, Chrome et FreePlane.

– d’être porteur d’un projet réel sur lequel appliquer, au fur et en mesure que le cours avance, ses connaissances, son savoir faire et son savoir être,

– de disposer d’au moins 100 à 200 heures travail intellectuel et pratique à consacrer à chaque module,

– le paiement de 25 € (UE) ou 25 $ (Afrique) de participation aux frais (IBAN = BE00 0000 0000 0000, BIC = , AUPC ASBL, BELFIUS AMERCOEUR, LIÈGE, BE), par module,

– participer à une équipe de travail avec 10 autres séminaristes connectés.

Nicolas est notre 1er candidat au Centre de Formations et de Conférences, virtuel, de l’EAE ASBL. Il se prépare à suivre notre formation, par e-mail, en gestion de projets de développement local.

Nous postons ici notre 1er échange sous WhatsApp sur ce nouveau projet.

  • Préoccupation personnelle : quelle corrélation y a-t-il entre le micro-crédit et la formation en gestion de projets de développement local que nous allons devoir entamer ?
    R. À priori : aucune relation. Ce sont deux projets distincts de l’EAE ASBL.

C’est toujours dans le même cadre ou bien celle-là est une affaire à part ?

Ce sont deux projets de l’EAE ASBL avec deux objectifs différents.

Micro-crédit : les partenaires sont des millionnaires à la fin de la collaboration.

Formation en gestion de projets de développement local : les séminaristes gèrent désormais professionnellement leurs projets de développement local.

  • D’un candidat : quid du passage de la formation aux rémunérations ?
    R. Nous ne rémunérons pas les séminaristes : se sont eux qui participent aux frais : 1 €($)/h/personne au lieu de 60-150 €($)/h/personne que coûterait cette formation ! Nous garantissons en revanche que celui qui suit la formation en appliquant directement la théorie à son projet, finira la formation avec un projet viable et rentable en main ! Cependant, comprenez que le gain financier de l’apprenant n’ait rien à voir avec l’EAE ASBL. Il est la conséquence d’une mise en pratique des compétences que nous transmettons au séminariste virtuel !
  • Un autre : y a-t-il lieu que ceux de Beni et de Butembo commencent à suivre des formations gratuitement ?
    R. Non. Il n’y a plus de formations « gratuites » dans EAE ASBL au sens où vous l’entendez. Toutes les formations demandent désormais – ou plutôt depuis toujours – des participations aux frais modiques, mais obligatoires.
  • Comment en sont-ils arrivés là ?
    R. Ils – ceux à qui tu fait allusion – ont eu une faveur accordée par nous, et non pas par le CA de l’EAE ASBL.
  • Y-a-t-il une étape ou un délai pour atteindre ces faveurs ?
    R. Non. Il n’y a plus de ce type de faveur. Nous avons estimé que les bénéficiaires étaient majoritairement des « parasites », des « ingrats » à ne pas multiplier.
  • Aussi, que sera le devenir ou bien l’après formation du participant ?
    R. Ceux qui finissent brillament peuvent compter sur un soutien de l’EAE ASBL qui cherche en vain de bons gestionnaires pour ses projets dans Beni, dans Butembo et dans le reste de l’Afrque et dans l’UE.
  • En fin, comment [quel] est le degré d’accompagnement que vous faites [accordez] à un acteur ?
    R. La formation ne prévoit pas une suite pour les certifiés, sinon qu’une collaboration dans le cadre de nombreux projets de l’EAE ASBL. Néanmoins, soulignons que l’EAE ASBL ne trouve pas de collaborateurs talentueux ou capitalistes avec qui collaborer. Elle pourrait volontiers collaborer avec les certifiés qui démontrent du talent et souhaitent œuvrer avec EAE ASBL.
  • Seulement l’encadrement théorique ou bien aussi un financement ?
    R. EAE ASBL n’est pas un organisme de financement. Notre projet Micro-crédit est une initiative qui vise la création des millionnaires, professionnellement, dans un esprit d’enrichissement solidaire. Dans 3 ans, si tout le monde nous comprend et agit en conséquence, nous serons devenus millionnaires, avec quelques uns de nos partenaires ! Il sera alors possible de créer un département crédit au sein de notre association ou à sa marge.

7 semaines au lieu de 13 !

Le groupe 14 (Huile de palme) de notre projet Micro-crédit/Jupio a quasiment triplé son capital propre en 7 semaines (69,87 € > 201,08 €), comme nous l’avions annoncé. Le groupe 3 (Essence) avait mis 13 semaines pour parvenir à ce résultat, ainsi que nous l’avions également prévu ! C’est dire qu’à cette allure, le groupe 14 verra son capital passer de 70 € à 250.000 €, dans 12 mois, Dieu voulant ; s’il suit notre conseil de démarrer un deuxième projet de soutien à celui du moment pour se nourrir, se vêtir, envoyer ses enfants à l’école, se soigner, subvenir aux autres besoins de ses ménages !

Lancer les trois partenaires qui forment ce groupe a coûté 165,67 € à EAE ASBL. Qui dit que les congolais ne soient pas en mesure de s’enrichir par leur travail ? Pourquoi laisse-t-on les jeunes dans la rue aux heures de travail pendant que leurs parents sont au travail ?

Notons qu’aucun Jupio du terroir n’ait participé au financement de ce projet jusqu’à ce jour. N’interviennent jusqu’ici que des congolais d’autres territoirs que celui des Jupio. La productivité du projet reste très faible : 13,12 €/partenaire/semaine de bénéfice généré. Notre gageure est d’atteindre 758,33 €/personne/semaine de bénéfice produit. Une croissance de 17%/an de la productivité est nécessaire et possible pour atteindre l’objectif dans 25 ans. Il faut pour cela instruire, former et éduquer les partenaires tout comme nos membres qui les encadrent. Un tel résultat en effet requiert des partenaires de qualité.

Merci du partage 🙏🏾
C’est un message de Maddy Tiembe d’AFEDE ASBL, ASBL Actions des Femmes pour le Développement, qui scolarise, depuis 6 rentrées scolaires à présent, 50 enfants (nés des violences, utilisées comme armes de guerre, anciens enfants soldats, déplacés par la guerre et les conflits à répétition, etc.) et ce dans la ville de Goma. https://www.facebook.com/307859062560183/posts/4359314827414566/?d=n

De Maddy Tiembe, sur Messenger.

Micro-crédit…

Chers frères,
Le projet Micro-crédit démarre bien en RDC.
Nous pouvons aider à faire des millionnaires dans Jupio, rien qu’avec ce projet en 24 à 48 mois.
Si donc vous avez de quoi investir dedans, plus de 50 EUR/mois, pour un mois ou plus, vous :

  1. aidez un groupe coopératif à doubler son capital ;
  2. recouvrez votre prêt à 100% à la fin ;
  3. vous aider nos animateurs locaux à avoir des collations de 25 à 250 EUR/mois d’ici le 31/12/2021, à la gloire de notre Dieu.

Les mentalités changent…

Jonas Jariekong’a

Bonjour tout le monde!
Où on en est avec le fameux projet de haute technologie entamé pour Kasengu? A ce stade, je peux pas dire que c’est une aventure qui ne devrait pas se répéter.

[19/3/2021, 11:06]

Graphèle Paluku Atoka Uwekomu

C’est ta participation attendue qui bloque ce projet, Jonas JARIEKONG’A !
Le projet n’étant pas un projet des parasites, félicitons ici les trois premiers vaillants alur, qui ont décidé de quitter leur Bunia natal, pour rentrer chez nous, construire notre territoire. Ce sont trois mukambo : Catherine, Daniel et Bahati. Dès avril ou mai prochain, ils iront VIVRE désormais avec les jupio, renforcer Guillaume, resté notre seul membre, depuis le 1er février 2021.
Sois donc apaisé, Jonas : il y a un resté qui aime notre gente, notre territoire.

Kisangani : quel développement ?

Nous annoncions une enquête préliminaire pour connaître les besoins en matière de développement de la ville de Kisangani, dans la province de la Tshopo.

Les données sont en cours de traitement à Bruxelles.  Cliquez sur le lien suivant pour voir, au départ des données brutes recueillies, par notre associé local Monsieur Sébastien Sadiki Yuma, sous la direction de notre répondant local, Monsieur Alphonse Biye, comment cette ville se dépérit et dans quelle mesure les boyomais se prennent à charge.

EAE ASBL attend travailler avec les boyomais à la conception et à la réalisation de projets de développement endogènes, pertinents et rentables, s’ils répondent positivement à l’offre de l’EAE ASBL/Kisangani.

D’ores et déjà notez l’incapacité des boyomais à créer du travail là où les besoins en production de biens et de services est indubitablement énorme.  Ce la même difficulté que nous rencontrons de l’Union Européenne.  Les compétences managériales en matière de développement local font cruellement défaut : partout.  La Bruxelles et Kisangani peuvent donc certainement utilement travailler ensemble pour à la fois résorber les chômeurs de l’Union Européenne et ceux de Kisangani en mobilisant les chômeurs eux-mêmes, sans toujours attendre que l’État n’interviennent…   Qu’est-ce qui bloque et empêche que nos populations saisissent les occasions, les opportunités de création d’emplois localement ?

  1. L’ignorance nos vrais intérêts et la paresse ;
  2. Les égoïsmes nationaux.

Que peut-il être fait pour remédier à cette situation ?

  1. Combattre notre ignorance de nos intérêts respectifs et de nos intérêts partagés, lutter contre nos paresses ;
  2. Combattre nos égoïsmes suicidaires.

EAE ASBL/Bruxelles encourage et travaille avec EAE ASBL/Kisangani à sensibiliser européens et boyomais à la problématique du développement local tant des localités africaines que des celles de l’Union Européenne dans le cadre de collaborations humanistes qui divorces d’avec nos réflexes colonialistes et attentistes.

Dans notre modèle capitaliste du développement, contrairement à ce que font les autres ASBL, nous visons la production du capital, par les citoyens eux-mêmes, pour satisfaire leurs besoins ; et combattons, contre vents et marées, la culture socialiste ou communautariste qui déresponsabilise partout : au Nord comme au Sud.