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Archives de l'année 2022
Sensibilisation sur l’inclusion des enfants en situation de handicap dans le système éducationnel congolais.

Dans le cadre de clôture de ces activités de sensibilisation sur « l’inclusion des enfants en situation de handicap dans le système éducationnel congolais », notre succursale de Kinshasa a organisé une conférence débat avec les différents animateurs du secteur de l’éducation nationale du district de Mont-Amba, à Kinshasa/RDC.
Tour à tour, Monsieur René BARAKA et Michel MULAMBA, ont expliqué ces termes: “l’éducation inclusive ne consiste pas à mettre en place des mesures spécifiques pour les apprenants en situation de handicap. Il consiste plutôt à inclure tous les enfants sur la base de l’égalité avec les autres”. Ce qui revient à dire que les enfants en situation de handicap et ceux qui ne sont pas en cette situation doivent fréquenter les mêmes écoles et étudiaient dans des mêmes auditoires.
Les enseignants, parents et élèves ont été sensibilisé et formé sur les thématiques de l’éducation inclusive et sur le comment arriver à doter une école (à moindre coût) les éléments d’amélioration des conditions d’accessibilités des enfants handicapés tels que les toilettes adaptées, les rampes, les bancs, etc. Après le jeu de question-réponse, les deux orateurs ont fait comprendre que c’est le système des écoles spécialisées qui a notamment favorisé l’exclusion des personnes handicapées dans la société. Ils ont aussi invité les élèves et enseignants d’avoir un regard positive et d’éviter toute sorte de discrimination à l’égard des enfants en situation de handicap.
RDC : le handicap, l’école et les enfants.
Par René Baraka Timolo
En République Démocratique du Congo, l’accès à une éducation de qualité et l’intégration sociale posent encore des problèmes pour les enfants en situation de handicap, bien que le droit à l’éducation pour tous soit inscrit dans plusieurs traités nationaux et internationaux. Les enfants à handicap sont les plus marginalisés et les premiers à être exclus du système éducatif. De plus, de nombreux défis persistent. Des obstacles empêchent d’améliorer la qualité de l’enseignement, l’apprentissage, le suivi du parcours et la réussite scolaire. Le fait de ne pas avoir accès à l’école renforce la vulnérabilité, le niveau de pauvreté, rend les enfants plus exposés à l’exclusion sociale, à la violence et aux discriminations. Or, tous les enfants, y compris les enfants avec handicap, ont droit à une éducation inclusive de base (primaire et secondaire), de qualité.
Compte tenu de cette situation, la succursale de Kinshasa de notre ASBL, dans son programme d’insertion professionnelle, propose une série d’activités qui impliquent différents animateurs du secteur de l’éducation de la ville-province de Kinshasa dans l’inclusion des enfants en situation de handicap dans le système éducationnel de la République Démocratique du Congo.
Pour y parvenir, EAE ASBL/Kinshasa se propose de sensibiliser et mener des campagnes d’information qui ciblent les parents et les chefs d’établissements des écoles primaires et secondaires de la ville de Kinshasa. Elle analysera les statistiques scolaires ; notamment, les indicateurs liés aux enfants en situation de handicap. Ces statistiques se focaliseront sur les écoles ayant mis en place des conditions d’étude, du matériel ou tout autre ressource qui facilitent l’accès à l’enseignement aux enfants à handicap, adaptés à recevoir ces derniers.
En outre, l’ASBL va continuer ses actions de sensibilisation destinées aux chefs d’établissements scolaires incriminés et aux parents en créant de plates-formes WhatsApp et Facebook ; et aussi, à travers les radios, afin de montrer l’importance pour les établissements scolaires, d’avoir des rampes, du matériel approprié, des installations sanitaires qui permettent l’accessibilité des écoles aux enfants à handicap.
À suivre…
EAE ASBL/Bruxelles : de la halte-garderie à la crèche ?
Compte-rendu de la réunion incidentielle avec Yvonne de ce samedi 8 octobre 2022 de 12h46 à 14h36.
- La première formation s’est bien déroulée et Marie Claire, notre partenaire dans le projet Halte-garderie (>Crèche), y a participé. Elle doit accomplir les formalités nécessaires pour joindre l’EAE ASBL afin de travailler dans le projet formellement comme membre, aux côtés d’Yvonne.
- Une fiche d’intention et une déclaration sur honneur sera remplie et remise à l’ONE, pour le 17 novembre au plus tard, par Yvonne.
- Il nous faut trouver une dénomination pour la crèche et expliciter nos motivations, avant cette échéance.
- La troisième formation aura lieu début décembre (? le 7).
- Yvonne proposera une rencontre de tous ceux que le projet Crèche/Bruxelles intéresse pour préparer la prochaine formation et pour un briefing sur la première. Nos membre qui souhaitent participer peuvent la rejoindre, comme Marie Claire.
- Elle nous proposera deux jours avec heures et durées le plus tôt possible.
- Des informations en possession d’Yvonne font état de l’existence des locaux exploitables et accessibles à Etterbeek et à Woluwe-Saint-Pierre. Nous ne manquerons pas de saisir ces occasions, tant que faire se peut.
Une halte-garderie à Bruxelles ?
- L’idée est venue d’Yvonne Gasengayire, membre de l’EAE ASBL, et de Marie Claire Emungu, sympathisante l’association.
- Les transactions avec l’ONE (Office National de l’Enfance) ont abouti sur une formation qui aura lieu le 7 octobre, un jour de novembre et un autre jour de décembre.
- Un accompagnement du projet que nous projetons exécuter à dans la commune de Woluwe-Saitnt-Pierre, si le conditions le permettent..
Handicap chez les jeunes et éducation.
L’ASBL Échanges Afrique-Europe, succursale de Kinshasa vient de signé un contrat de 3000$ avec Internews, pour l’exécution d’un projet portant sensibilisation sur l’inclusion des enfants en situation de handicap dans le système éducatif congolais, dans la ville-province de Kinshasa.
Si tout va bien, le projet démarrera la semaine prochaine.
De René Baraka Timolo (Kinshasa)
Emplois et salubrité dans la RBC…
Yvonne, Marie Claire (intéressée) et Graphèle visiteront la maison unifamilliale sise avenue Van Crombrugghe 104 à la commune de Woluwe-Saint-Pierre (1150 Bruxelles) pour voir comment y organiser des activités génératrices d’emplois bien rémunérés, de revenus pour EAE ASBL ; et des participations actives à l’accroissement de la salubrité dans la Région de Bruxelles-Capitale.
Nous comptons aussi demander au propriétaire de la Chaussée de Wavre 878, à Etterbeek, la mise en valeur de son gage par EAE ASBL avec comme objectif de créer de l’emploi et de rendre le lieu plus salubre.
L’agriculture à Jupugulo

Nous sommes déjà le 30 avril 2022. EAE ASBL passe les plus durs moments de son existence. Le projet Micro-crédit est à l’arrêt à Bunia comme à Jupugulo pour cause de non remboursement du crédit par les 8 partenaires que nous y possédons : 6 à Jupugulo et 2 à Bunia.
Près de 3000 $ investis dans le projet Microcrédit/Jupugulo ne sont toujours pas encore retrouvés… La cavale continuerait : ni le chef de localité, ni le chef de groupement n’arrivent à aider EAE ASBL à être restitué dans ses droits. Nous nous en reportons au Roi des Ang’al ce jour.
Le projet CNTIC/Jupugulo est ainsi mis en mal : pas possible de nous pourvoir en groupe électrogène comme prévu ; et, de ce fait, pas non plus possible d’utiliser la motopompe que nous avons déjà acquise. Enfin, pas non plus moyen d’équiper nos 5 briquetiers bénévoles pour commencer la production de près de 2.500.000 briques qu’il nous faut pour construire nos 92 locaux de 6×8 m² chacun.
Pour ne pas rester oisifs et pour garantir une collation à notre associé de Beni dépêché sur place, nous avons lancé deux nouveaux projets générateurs de revenu : le projet Huile de palme et le projet Haricot. La première consiste à acheter de l’huile de palme à Ramogi pour le revendre à Mahagi à un prix démocratique ; le second, consiste à planter du haricot dans nos 4 ha vers juillet pour le vendre le de production 4 à 5 mois plus tard sur place à un prix tout aussi démocratique. L’investissement de départ dans ces deux projets est estimé à 380 €.
Ci-dessus un appel à partenariat dans le cadre de l’exécution du projet Haricot.
Partenaire du Micro-crédit de l’EAE ASBL ?
Comment se déroule typiquement un partenariat dans le cadre de notre projet Micro-crédit ?
Un partenariat dans le cadre de notre projet Micro-crédits commence par la collecte d’informations sur le groupe d’entrepreneurs et leurs affaires, ainsi que sur les sponsors disponibles.
Après une analyse concluante du groupe et des affaires, un accord des sponsors intéressés, nous émettons un contrat de partenariat avec le groupe. Ce contrat se base sur l’investissement du groupe et sur la disponibilité de fond chez les sponsors de l’EAE ASBL. Le principe de fonctionnement du partenariat est ensuite simple…
Nous nous engageons ensemble sur la voie de l’enrichissement, par étapes. Chaque étape dure normalement 8 semaines maximum. C’est la période au cours de laquelle le groupe partenaire verse la part de son bénéfice généré par le micro-crédit à l’EAE ASBL, chaque samedi, de toute bonne foi. Au-delà de cette période, la part du bénéfice généré par le micro-crédit lui est acquise d’office : il n’a plus de dette de l’EAE ASBL. La part du bénéfice généré par son fond propre lui est acquis tout le long du partenariat, dès le premier jour, jusqu’à la fin du partenariat.
Le micro-crédit maximum de la première étape est de 200 €, mais ne dépassera pas le double de fond propre du partenaire. Aux étapes suivantes le maximum du micro-crédit vaut le double du fond propre du partenaire en début d’étape.
Tout le long de la collaboration, l’EAE ASBL doit des conseils au groupe partenaire pour accroître son rendement. Il lui fournit également des instruments simples de gestion de ses affaires, similaires à celle engagée dans la collaboration. Votre groupe doit à l’EAE ASBL, chaque samedi, la part de son bénéfice généré par le micro-crédit. Le versement hebdomadaire approximatif est évalué au début de chaque étape sur la base du rendement de l’affaire déclaré, puis du rendement calculé en temps réel.
Une étape évaluée chaque semaine. Les points sont cumulés durant l’étape. Elle est automatiquement reconductible lorsque le succès est de 80% au moins. En deçà de 80%, les parties sont d’office libres d’arrêter la collaboration.
Mahagi et le genre…
La crise de l’adolescence ferait rage à Mahagi en RDC, comme ailleurs…
Beaucoup d’hommes et de femmes paient un lourd tribu pour ne s’être pas mises à la préparation des changements que nous imposent les relations zux autres.
Les parents, démissionnaires, s’en prennent aux autres pour rien. Ils doivent se lever, sans retard, pour renouer des relations familiales authentiques avec leur progéniture.
Le coût est de se mettre au travail intellectuel et physique ; si du moins ces parents aiment leurs descendance !
Les femmes subissent une pression plus importante… Elle portent les enfants au ventre, à la main, puis au dos…
*Comme des hommes qui aiment leurs femmes, les hommes doivent sf lever et crier fort : nous vous aimons, chéries !*
EAE ASBL a commencer avec un projet entreprenariat. Les hommes y étaient trop absents ! *C’est, peut-être, sans doute, une correction à apporter, que de promouvoir des projets des couples !*
Jeunesse et technologies…
Pleine d’énergie, la jeunesse veut s’exprimer, mais elle sait aussi que l’échec de son éducation veut dire : mort précoce !
EAE ASBL se veut de coacher les jeunes qui le désirent en ligne.
Investir nos jeunes dans la maîtrise des technologies nous paie bien, nous parents et prépare les jeunes à avoir de la carrure pour faire fasse aux agressivité de la vie d’aujourd’hui.
Maîtriser une technologie quelconque demande de se hisser en instruction, en compétence et en discipline. Impossible d’y arriver par l’ignorance, par l’incompétence, par l’indiscipline.
Les jeunes qui ne s’élèvent pas, finissent par périr, à petits feux ou tragiquement.
Se faire coacher par EAE ASBL, c’est gagner en vie !