Le travail préparatoire est énorme : où déplacer les champs et comment les engager dans les technologies agricoles de pointe ? Où et comment disposer les bâtiments du CNTIC de manière optimale et donner de l’esthétique au paysage résultant ? Comment arranger les nouvelles habitations autour du centre ? Quelles voies d’accès entretenir ou améliorer ? Où trouver la main d’oeuvre ou comment la créer ? Comment financer la transformation du milieu, protéger l’environnement et accroître le capital bonheur des hatitants et leurs voisins ? Comment préparer la population à gérer le bond technologique que représente le projet pour la contrée ? Quelles sources exploiter pour fournir l’électricité et l’eau potable dans Jupugulo et ses environs au moindre coûts en recourant aux technologies de pointe ?
Trois équipes travaillent ces questions : à Jupugulo, à Bunia et à Bruxelles.







Elles font penser à beaucoup de choses à la fois, outre le CNTIC lui-même :
1. le lotissement et l’aménagement de l’habitat ;
2. le boisement et la forestation ;
3. la modernisation (robotisation) de l’agriculture ;
4. la construction d’un réseau électrique ;
5. la construction d’un réseau hydraulique ;
6. la modernisation de l’instruction, de la formation et de l’éducation ;
7. la structuration et la modernisation de la santé ;
8. l’organisation du transport ;
9. l’organisation de la transformation et du commerce des produits locaux ;
10. etc.
Dans nos prochaines publications
- Parole aux populations locales, bénéficiaires et partenaires du projet.
- Le mot de l’autorité administrative.
- La place de l’église prostestante locale dans le projet.
- Les contribution des équipes de pilotage du projet : Jupugulo, Bunia et Bruxelles.